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Istanbul : L’inattendu et le dépaysement assuré

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J’ai choisi ma destination, ce sera la Turquie pendant 9 jours. Presque personne ne connaissait la destination, je voulais partir l’esprit libre. Pourquoi la Turquie ? Et bien un pays Islamique et un dépaysement assuré. Mais pas seulement, je rêve de la Cappadoce depuis un moment, et la ville d’Istanbul m’intrigue. Je n’ai pas de parcours prédéfini. En général les plans c’est vraiment pas mon turc. Je n’assume pas cette vanne…

 

Istanbul : Point de chute

 

Enfin le départ. J’ai longuement attendu mais c’est bel et bien le moment. Mon sac est déjà prêt ! Non je déconne mon sac n’est jamais prêt, je fais tout dans l’urgence. Pour Istanbul, je ne serais pas seul, Julie m’accompagnera. Le reste je le ferais en roue libre. Dormir dans l’avion est souvent la meilleure des choses, sauf quand une annonce micro nous annonce le Mont Blanc sur notre droite ! C’est parti pour une heure de contemplation! Les Alpes c’est pour moi la plus belle chaîne montagneuse, oui certes je suis un peu chauvin, mais le Mont Taurus ne pourra sûrement pas lui passer devant. Une fois arrivé au second aéroport d’Istanbul (Sabiha Gökçen), il nous faut rejoindre Taksim, à environ une heure de route par Bus (13 liras, soit moins de 5 euros avec la compagnie Havas, toutes les 30 minutes).

Une fois sur place, je me dis que j’ai bien fait de n’échanger que très peu d’argents en France. Quand le taux en France était de 2.6maximum, il est ici de 2.89/2.90. Pour faire simple, si vous échangez 200 euros, vous gagnerez près de 10 euros. Cela peut paraître anodin, mais sur un voyage de 10 jours, cela peut peser dans la balance. La place Taksim semble quasi déserte en ce Dimanche après-midi, mais lorsque nous avançons un peu plus, dans l’une des rues les plus fréquentées d’Istanbul, la foule se tasse. L’auberge n’a rien de très rassurant. Je ne sais pas si c’est l’accueil, la peinture pas terminée, ou le côté très gloque, mais j’ai vu mieux. Mais elle est bon marché. Moins de 11 euros, et dans un quartier sympa pour sortir le soir (Soho Hostel Istanbul).  Taksim est également l’endroit où l’on peut reprendre le bus pour l’Aéroport. En outre, un point stratégique.

 

La première approche

 

Un moment interminable. Les chambres ne sont pas encore prêtes et pourtant il est bien l’heure. Je mets un peu la pression au chargé d’accueil, qui n’a qu’une envie, celle de dormir. Enfin, nous pouvons poser nos sacs. Pas le temps de visiter les lieux, déjà dehors. La place Taskim est vraiment un chouette endroit, mais la découverte ne serait pas totale sans passer par la boutique connue de tous : Hafif Mustafa ! Cette pâtisserie est une véritable institution à Istanbul. Vous pourrez y trouver toutes les spécialités Turques, de quoi entamer un régime inversé. Car oui, les spécialités Turques sont grasses, et le miel est légion. Je ne pourrais pas vous parler du Baklava, sans que le dégoût m’envahisse (beaucoup trop gras pour moi). Cette pâtisserie agrémentée de pistaches avec son dosage de sucre abondant … (On m’en avait pourtant dis du bien de ce Baklava !) Le problème c’est que nous ne nous sommes pas arrêtés là ! Hop on se plonge dans la culture, avec 6 pâtisseries. Laquelle est la plus grasse ? Difficile à dire. Je ne saurais vous dire si j’ai apprécié, en tout cas je n’ai plus faim, je suis rassasié. Au début c’était un réel plaisir, mais l’écœurement a pris le dessus par la suite. Je referais l’expérience culinaire un peu plus tard dans le trip, en attendant nous poursuivons notre route.

Les camions de policiers se font de plus en plus présents, et leurs regards sont perturbants. Un peu plus loin, on entend des cris exacerbés des manifestants. Je ne vais pas vous mentir, même si je trouvais cela fascinant, des frissons venaient m’envahir. Rien à voir avec les manifestations que j’ai pu voir auparavant. Une colère dans les paroles, un seul et même but … L’intensité qui s’y dégage est terrible. Je ne comprends absolument rien au Turque, mais j’arrive à percevoir leur mécontentement, leur haine, leur ras-le-bol. Deux cortèges distincts, les hommes puis plus loin les femmes. Cette aparté me fait prendre conscience de la situation délicate que doit vivre le peuple Turque, même si, dans l’état actuel des choses je n’en sais pas plus. Plus loin, j’aperçois Shake Shack, ce fast food New Yorkais qui me rappelle tant de souvenirs. Mon sérieux disparaît peu à peu, et laisse place à la nostalgie New Yorkaise. Jamais je n’aurais pensé retrouver ce genre de fast food ici.

Pas encore dans la plus belle partie d‘Istanbul et pourtant je vois déjà des choses bien sympathiques comme la Tour Galata. Elle permet aux touristes de voir tout Istanbul, ce qui doit être génial. Mais avec les points de vue payants j’ai toujours un peu de mal. Plus on s’éloigne de Taksim, plus les locaux sont présents, et c’est plaisant ! En descendant dans la ville, je peux ressentir l’atmosphère si particulière d‘Istanbul.

 

L’authentique Istanbul

 

Avant le pont Galata, emmenant notamment à la Nouvelle Mosquée, se trouve un petit coin avec des pêcheurs. Une petite ruelle remplie de commerçants, criant pour vendre leurs poissons. Il fait très chaud aujourd’hui. Sur le pont, les locaux avec leurs cannes à pêche s’essayent. Les sauts se remplissent petit à petit. Notre attention est attirée par cette mosquée d’apparence gigantesque. Ni une , ni deux, nous nous empressons de la visiter, assistant même à la fin du rituel de la prière. Pas de chaussures, la tête couverte pour les femmes, l’habitude à prendre ici. Je le savais, c’est évident, mais c’est la première fois que je rentre dans une mosquée, n’ayant jamais eu cette curiosité auparavant.Je reste estomaqué par autant d’implications. Plus aucun bruit. La fascination m’envahit, moi qui ne suit pas du tout croyant.

Un peu avant la tombée de la nuit, la vue sur Istanbul est somptueuse, tout s’assombrit pour mon plus grand bonheur. Un long coup d’œil, puis le bazar égyptien nous tend les bras. Je n’aurais peut-être pas assez de superlatifs pour qualifier cet endroit. C’est assourdissant mais pour une fois ça ne me dérange pas. Des épices en veux-tu, en-voila : Safran, Curry, Cannelle et bien d’autres encore. Ici, il y a de tout, on perd volontairement du temps car on s’y sent bien et ce n’est pas moi qui vais vous dire le contraire. Plus on avance, plus notre porte-monnaie tente de se dégarnir, je résisterais !! Du moins cette fois …

 

La Chicha, synonyme de détente

 

Pour bien finir la journée et entamer la soirée, quoi de mieux qu’une chicha et un thé, en revenant sur la place Taksim. Un burger englouti chez Shake Shack au passage, nous n’aurons pas résisté à la tentation. La chicha, cela fait bien 5 ans que je n’en ai plus « fumée » une. Julie en est limite à son coup d’essai. Ses premières « bouchées » m’occasionnent un fou rire, que je ne parviens pas à dissimuler. 1h30 de Chicha, ça fait forcément un peu mal au crâne. 24 liras, pas trop excessif pour 2 personnes, et un moment de détente appréciable. Un pourboire laissé à ce petit qui se démenait pour que cela se passe bien. Malheureusement, il le donnera à son patron, ça doit marcher comme ça ici … Le choc des cultures me dérange parfois, comme cette femme assise juste derrière nous, qui doit regarder son mari en train de fumer. Si elle fait un faux mouvement, la voix s’élève, je ne m’étais pas préparé à ça.

 

Une confiance malsaine

 

Le lendemain, pas question de traîner, c’est la dernière grosse journée. J’en aurais une autre demain, mais en parti seul. Elle débutera par une visite à la gare routière d’Istanbul, un long trajet… Surtout quand on se trompe dans l’itinéraire, tout ça à cause de cette carte mal foutue (mauvaise foi quand tu nous tiens). Je désire partir pour Gorëme en Cappadoce, région qui me fait tant rêver. Vers 9h, nous sommes à la gare. Je trouve mon feeling, comme en Amérique du Sud, où j’arpente les différentes compagnies de bus. Mais n’est pas Amérique du sud qui veut, la concurrence est plus saine, pas de gros écarts de prix. Petite déception, moi qui adore trouver le meilleur prix, et des bus un peu pourri, je n’en aurais pas ici. Tous disent avoir le wifi, mais aucun ne l’a vraiment, c’est une arnaque déguisée (trois bus sont directs pour Gorëme : Nesvehir, Sha et Metro, allant de 65 à 70 liras, soit à peine 2 euros de plus).

Une prise de conscience tardive mais salvatrice

Puis nous retournons à la station de métro Arksaray, le reste se fera à pied en direction de la mosquée de Sultanhamet. Un petit coup d’œil sur la carte … Une personne vient nous prêter main forte. Je suis là, sans aucun à priori. Normalement je ne fais confiance à personne, c’est une règle, mais cette fois j’écoute bien volontiers cette personne … Nous la suivons sans réfléchir aux conséquences.

Nous nous regardons assez souvent avec Julie, non pas par attirance cette fois, mais par crainte. Il nous fait traverser le souterrain, je lui dis qu’on va s’arrêter, il me prend limite par le bras et ne veux pas me dire où nous allons. Ça commence vraiment à être louche cette histoire. Le type est très insistant et ne nous laisse aucun répit. Pendant qu’il a le dos tourné, je hausse la voix pour dire à Julie que l’on va déjeuner, MAINTENANT !!! Hop, je ne lui laisse aucun temps de réaction, il me parle, je lui dis de continuer seul. La boutique où l’on s’arrête est une chaîne à Istanbul. Simit Sarayi, retenez bien ce nom, c’est délicieux.On est désormais tranquille, jus d’orange pressé et gâteaux portant un nom imprononçable (que je vous donnerais un peu plus tard dans le road trip, juste pour votre culture).

Mais après réflexion et concertation, que nous voulait donc ce type ? Nous tuer ? Nous kidnapper ? Non, rien de tout ça, enfin sait-on jamais. En regardant la carte, on peut voir que la mosquée était à l’opposée de la direction que l’on prenait. Je pense donc que son but était assez simple. Nous emmener hors des zones touristes pour nous dérober, tout ce que nous possédions. C’est désormais une évidence.

 

La culture Stambouliote à son apogée

 

Bref, on passe rapidement à autre chose, mais cet épisode aurait pu beaucoup plus mal tourner. La mosquée quant à elle vaut vraiment le coup. Son extérieur est encore plus beau que son intérieur, qui ne manque pourtant pas d’atouts. Puis direction Le grand bazar, qui comme son nom l’indique, est un immense bordel, n’ayons pas peur des mots. Un peu comme un marché aux puces géants. Bienvenue dans le royaume du faux. T-shirt Abercrombie pour 5 euros, vous en rêviez ? Istanbul l’a fait ! Petite info au passage: Si vous voulez le meilleur taux de change de tout Istanbul, c’est ici qu’il faut venir.

La pluie commence à tomber. Nous rentrons à l’intérieur du bazar, avec ses lampes, bijoux, tapis et j’en passe. Puis, le rituel de la prière retentit dans la ville, nous profitons d’être proche d’une petite mosquée pour y assister. Calme plat et admiration encore une fois, envers ses personnes totalement habitées. Tout le monde connaît sa leçon par cœur. Néanmoins ça creuse cette histoire. On va changer un peu, en dévorant une Pita, pizza ovale. Ici vous en trouverez des tonnes, pour la simple et bonne raison que la Turquie est son pays d’origine. Puis pour continuer, des loukoums, bah voyons … bientôt je n’arriverais plus à marcher.

Non loin de là, la mosquée bleue est une véritable merveille, un enchantement, à l’extérieur comme à l’intérieur. Derrière se trouve la basilique Sainte-Sophie (malheureusement fermée le lundi). Mon cœur balance. Mais au final, c’est toujours la mosquée bleue qui l’emporte. La raison ? Un coup de cœur tout simplement. Il est plus de 15h, et plusieurs choix s’offrent à nous. Nous ne pourrons pas aller au marché de Kadikoy, car il est fermé (seulement le Mardi et le Jeudi). Après mûre réflexion, ce sera Miniaturk. L’Anglais bancale des citoyens turques, ne nous permet pas d’avoir les bons renseignements pour le bus. D’ailleurs je n’ai pas eu une réelle symbiose avec le peuple Stambouliote … Un poil trop rustre pour moi. Je n’aime pas faire de généralités, peut-être suis-je mal tombé.

 

Un repas bien mérité

 

Le bus pour Miniaturk part bientôt, l’écran étant cassé, impossible de savoir combien d’arrêts sont à prévoir avant Miniaturk. Le conducteur n’arrive pas à me répondre, et ma maîtrise de la langue turque reste bancale. On s’installe, le sommeil vient pointer le bout de son nez. Je lutte pour ne pas rater l’arrêt mais c’est peine perdue. Ce bus fait toute la ville, en effectuant tour et détour, assez extraordinaire. Enfin arrivés à Miniaturk, le temps est maussade et l’expérience en vaut à peine le coup. 6 euros pour voir les divers merveilles de la Turquie en petite taille, c’est rigolo 10 minutes. Mais ne faut-il pas essayer avant de dire que l’on n’aime pas ? C’est toujours ce qu’on me disait quand je repoussais mon assiette d’épinards, dans mon illustre jeunesse.

Il est désormais l’heure de retourner dans le centre ville. Avec l’aide d’une famille turque, nous parvenons à trouver le bon bus, qui nous offrira d’ailleurs une belle vue sur Istanbul. Puis direction un restaurant typique, Gani Gani, recommandé sur internet. L’adresse paraît simple comme ça… Mais nous tournons en rond. Impossible de trouver cette foutue rue. Il faut dire que toutes les rues ne sont pas indiquées, c’est un peu au pif… à droite, à gauche. Finalement, un aimable restaurateur de proximité finira par nous amener. Je dois dire que je méfiais. On est jamais trop prudent, surtout après l’incident du matin. Finalement, nous avons bien fait de tourner en rond pendant 1h, ce resto est top. Assis à même le sol sur des tapis, avec des plats typiques à la pelle comme le très bon Manti (raviolis au Yaourt). Un vrai régal.

 

Derniers moments à deux

 

Il nous manque tout de même pas mal de choses, comme le palais de Tokaïpi ou encore la Basilique Sainte-Sophie. Mais la file d’attente étant trop importante, je visiterais cette basilique l’après-midi. Nous choisissons de nous rendre au palais englouti. Même si cet endroit est rempli d’histoire, cela ne me transporte pas vraiment. 20 minutes de visite suffiront. Puis le ventre réclamant famine, un petit déjeuner typique s’impose chez Mado. La quantité ne manque pas, c’est très bon, quoi que peut-être un peu cher. Je reste convaincu que l’on peut trouver moins onéreux en s’éloignant un peu des zones touristiques. Malheureusement le temps nous manque. Voilà, l’heure de Julie est arrivée. Rassurez-vous à l’heure actuelle, elle est toujours en vie.

 

Seul à Istanbul

 

C’est donc maintenant l’heure du raid solitaire. Le moment d’aller à la basilique Sainte-Sophie, enfin! Dans la file d’attente, un racoleur répond agressivement à la femme d’un américain, en lui disant qu’elle n’a pas le droit à la parole : « Do you know Democraty. I Only speak with the guy … ». L’homme ne dit rien, comme estomaqué…  Cette visite est incontournable, même si le prix a faillit me dissuader (un peu plus de 10 euros). Le décor intérieur est réellement somptueux. Je ne suis pas un adepte des églises, basiliques, mais il faut savoir apprécier cet art qui se dresse devant moi. En sortant, toujours cette mosquée bleue, je ne peux pas la snober, même si je l’ai déjà admiré plusieurs fois. Je m’éternise dans son jardin et la regarde longuement. Cela me fait penser au Taj Mahal, même si je n’ai jamais mis les pieds en Inde. J’hésite à faire une croisière sur le Bosphore mais le temps me manque, peut-être une autre fois.

On dit que l’on revient toujours à nos premiers amours, et là c’est le cas : Le bazar Égyptien et ses épices. Je craque, 70 lira en tout, un peu moins de 25 euros selon mes savants calculs. Je perds encore du temps ici, avec cet atmosphère si particulier. Viendront ensuite promenade dans les rues et attente à la gare routière. Mon bus est à 20h30. Je décide d’arriver tôt pour manger. De tout façon, j’ai déjà la tête ailleurs, à Gorëme exactement. 8 à 10 h de bus m’attendent.

Istanbul est une ville formidable avec une très belle architecture. Elle est surtout extrêmement dépaysante, dès la sortie de l’aéroport, avec sa culture très marquée. Mais, même en étant un homme, j’ai été parfois marqué par le comportement et la place des femmes. Pourtant mes blagues au second degré à caractère misogyne ne sont pas rares. Certaines femmes subissent encore les foudres d’hommes peu scrupuleux. Ceci est mon vécu en tant qu’homme, celui d’une femme est différent. Par exemple, Julie l’a vécu beaucoup plus intensément, se rendant ainsi compte de la liberté innée, qu’elle avait la chance de connaître ici. Bien entendu, c’est un point de vue personnel et la question du choix de vie se pose. Tout dépend si c’est un choix personnel, ou non.

Bonus :

Le Top 10 des choses à faire : 

– Basilique Sainte-Sophie

Mosquée Bleue

Mosquée Sultanahmet

– Le grand bazar d’Istanbul

Le bazar égyptien

– Déguster un thé turque et fumer le narguilé

– Assister à une prière

– Goûter les pâtisseries turques (Baklava, loukoums etc) et prendre un petit déjeuner typique

– Traverser le pont de Galata et voir ses cannes à pêche

– Croisière sur le Bosphore

– Le marché de Kadikoy dans la partie asiatique

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5 Commentaires

Blog Voyage Way

Blog Voyage Way

8 juillet 2014

Bon article ;-)
Istanbul est une ville magique qui s'est modernisé mais qui a préservé des quartiers authentiques.
J'y suis allé 2 fois et je pense y retourner. La ville est grande, dynamique et il y a plein de choses à voir / faire.
On peut y aller plusieurs fois sans s'en lasser je pense!

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Mike

Mike

16 juillet 2014

Merci beaucoup. J'ai beaucoup aimé, même si j'y mets quelques points négatifs. Je ne sais pas si je pourris y retourner une autre fois en revanche, c'est la où mon avis diverge. Peut être un week end pas plus, vu que j'en ai déjà fais pas mal.

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Nico

Nico

8 janvier 2015

Moi je rajouterai : Visitez lez Han de la ville, ca fait partie de l'histoire et il y a quelques perles à découvrir absolument.

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Alice

Alice

1 juin 2017

Bonjour Mike, quel type de croisières est proposé à Istanbul juste par curiosité ?

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Mike

Mike

13 septembre 2017

Bonjour Alice,

Désolé de la réponse tardive, mais on avait laissé le blog de côté pendant un petit moment. A Istanbul je pense que tu peux faire une croisière sur le Bosphore en te rendant près du grand pont qui rejoint la Nouvelle Mosquée.

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